Le e-business horticole. Petit tour de piste

La graine informatique investit beaucoup pour proposer à ses clients des solutions de e-business. Allons-y pour les anglicismes de circonstance :

- solutions de Product Information Management ('PIM') : Hortibook est le moyen de décrire les produits qu'on propose à ses clients, en terme de marketing (la 'promesse' du végétal, ses atouts) et ceci en utilisant tous les médias (images, sons, vidéos, pdf,...).

- solution de boutique en ligne dite BtoC (Business to Consumer), qui s'appuie sur le CMS Prestashop et une liaison automatique entre le logiciel Flow'One (articles, prix, stocks) et cette boutique, ainsi, bien-sûr, qu'une liaison avec le PIM Hortibook. Ainsi le visiteur dispose t'il d'un outil complet et convivial.

- solution de vente en B to B (Business to Business): vente par internet aux magasins. Solution déjà évoquée sur ce blog, la nouvelle version de Hortipass, nommée Hortishop, constitue l'occasion de relancer ce type de mise en vente,


- solution d'animation commerciale (HortiConnect) par e-letters et e-mailing pour 'pousser' les informations commerciales auprès des clients et clients potentiels.

Un point commun à toutes ces solutions : elles sont vendues selon les volumes ou l'usage qui en est fait ou selon les résultats obtenus, conformément à ce qui devient la norme en matière de nouvelles technologies.

Il faudra bien sortir de ce paradoxe, tel qu'exprimé devant moi par le patron d'une entreprise horticole:
"un site de prise de commande par Internet? j'en ai besoin mais je n'ai pas le budget pour cet investissement,
- oui, mais payer ce service selon le nombre de commandes reçues, c'est inconcevable pour moi.
- résultat? je ne fais rien".


Je considère aussi comme très provisoire le 'paradoxe' suivant: comme l'évoque l'image ci-dessus, un chef de rayon pourra commander ses végétaux depuis son Smartphone !.
Je revois encore cette cliente, étonnée de constater que le magasin-client ne mettait pas d'accès Internet à disposition de son chef de rayon et acheteur, et gênée de devoir envoyer son dispo par mail  ... sur le téléphone portable personnel de cet acheteur.

Ces "difficultés', nous en sommes persuadés, ne résisteront pas à ce grand vent qui souffle en faveur des nouvelles technologies, usage aussi évident que l'utilisation de l'électricité qu'on paie... à l'usage et sans avoir à financer aucun investissement (tiens, tiens)




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